SPECTACLE ALICE(S)
Lieu : Cinéma le Majestic
27 septembre 2023

ALICE(S) D’après « Alice au pays des merveilles » et « Alice de l’autre coté du miroir » de Lewis Carroll
.
« L’autre » est un kaléidoscope vivant de tous les personnages sortis de l’imagination d’Alice.
(Un lapin blanc, une chenille, un chat, un chapelier, une reine de coeur… et un cavalier blanc, lui bien réel)
Synopsis
Alice a 40 ans. Elle s’ennuie terriblement.
Elle bat le temps à coup de jeux de cartes, à coup de jeux d’échecs…
Jusqu’au jour où elle redécouvre le tablier blanc de son enfance, où ses divagations donnaient vie à toute une multitude de créatures extraordinaires.
Il est « temps » pour elle de retrouver ce monde merveilleux. Quand soudain, surgit un lapin blanc pressé, qui l’invite à passer de l’autre côté de son miroir.
Commence alors une épopée fantastique, tel un rêve, en lien avec sa réalité.
Les chemins deviennent multiples, les transformations incessantes, jusqu’à recomposer une Alice au pluriel,
capable de suivre ses aspirations : Alice(s) veut devenir reine, reine d’elle-même, pour que tous les chemins lui appartiennent et singulièrement celui d’un cavalier blanc. Mais l’amour fait-il partie du jeu ?
Note d’intention (Arnaud Devolontat)
« La vie qu’est-elle, à part un rêve ? »
Je vous invite à accueillir ce spectacle tel un songe, en acceptant de ne pas attendre de réponse, mais en vous laissant traverser par un souffle de questions essentielles que pose Lewis Carroll.
Qui sommes-nous ? Où souhaitons-nous aller ?
Il y a dans ces questions une remise en cause de nos repères construits tout au long de notre vie d’adulte.
Dans notre quête de stabilité, d’identité, de fixité, tout ici devient insaisissable et étrange, mais comme tout rêve, celui d’Alice possède une logique à la fois déroutante et cohérente.
C’est donc une infinité de sens pour notre état de veille qui s’ouvre à nous. Toutes les possibilités s’invitent devant et derrière nous. Notre identité fixe ne devient alors qu’une illusion, une fiction, dans laquelle nous
pouvons redistribuer le « je ».
Cette déconstruction du « Moi », nous renvoie à une autre logique : nous ne sommes rien d’autre que du
changement et nous pouvons donc devenir quelqu’un d’autre. « Je deviens ce que je pense »…
Alice m’est donc apparu comme une femme adulte, plongée dans sa solitude mais qui parle à l’enfant qu’elle était pour retrouver son monde merveilleux. Un exutoire poétique et philosophique pour mieux comprendre
qui elle est et ce qu’elle veut être.
Une chute presque interminable l'emmène dans un monde aux antipodes du sien. Un voyage en soi.
De doutes en frustrations, d’interrogations en intuitions, Alice passe de l’autre côté du miroir pour discuter librement avec son « autre ».
« L’autre », est en fait elle-même, dans lequel elle plonge tout un bestiaire de créatures fantasques : un lapin
blanc, une chenille, un chat, un chapelier fou, une reine rouge…Tout un retors de personnages bizarres pour
se confronter au paradoxe et à l’absurde.
Il y a toutefois un cavalier blanc, lui bien réel, qui s’est invité dans son rêve. Un amour qu’elle boira jusqu’à disparaître et qu’elle mangera pour mieux grandir.
Est-ce pour retenir ce cavalier qui lui échappe qu’Alice veut devenir reine ?
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« L’autre » est un kaléidoscope vivant de tous les personnages sortis de l’imagination d’Alice.
(Un lapin blanc, une chenille, un chat, un chapelier, une reine de coeur… et un cavalier blanc, lui bien réel)
Synopsis
Alice a 40 ans. Elle s’ennuie terriblement.
Elle bat le temps à coup de jeux de cartes, à coup de jeux d’échecs…
Jusqu’au jour où elle redécouvre le tablier blanc de son enfance, où ses divagations donnaient vie à toute une multitude de créatures extraordinaires.
Il est « temps » pour elle de retrouver ce monde merveilleux. Quand soudain, surgit un lapin blanc pressé, qui l’invite à passer de l’autre côté de son miroir.
Commence alors une épopée fantastique, tel un rêve, en lien avec sa réalité.
Les chemins deviennent multiples, les transformations incessantes, jusqu’à recomposer une Alice au pluriel,
capable de suivre ses aspirations : Alice(s) veut devenir reine, reine d’elle-même, pour que tous les chemins lui appartiennent et singulièrement celui d’un cavalier blanc. Mais l’amour fait-il partie du jeu ?
Note d’intention (Arnaud Devolontat)
« La vie qu’est-elle, à part un rêve ? »
Je vous invite à accueillir ce spectacle tel un songe, en acceptant de ne pas attendre de réponse, mais en vous laissant traverser par un souffle de questions essentielles que pose Lewis Carroll.
Qui sommes-nous ? Où souhaitons-nous aller ?
Il y a dans ces questions une remise en cause de nos repères construits tout au long de notre vie d’adulte.
Dans notre quête de stabilité, d’identité, de fixité, tout ici devient insaisissable et étrange, mais comme tout rêve, celui d’Alice possède une logique à la fois déroutante et cohérente.
C’est donc une infinité de sens pour notre état de veille qui s’ouvre à nous. Toutes les possibilités s’invitent devant et derrière nous. Notre identité fixe ne devient alors qu’une illusion, une fiction, dans laquelle nous
pouvons redistribuer le « je ».
Cette déconstruction du « Moi », nous renvoie à une autre logique : nous ne sommes rien d’autre que du
changement et nous pouvons donc devenir quelqu’un d’autre. « Je deviens ce que je pense »…
Alice m’est donc apparu comme une femme adulte, plongée dans sa solitude mais qui parle à l’enfant qu’elle était pour retrouver son monde merveilleux. Un exutoire poétique et philosophique pour mieux comprendre
qui elle est et ce qu’elle veut être.
Une chute presque interminable l'emmène dans un monde aux antipodes du sien. Un voyage en soi.
De doutes en frustrations, d’interrogations en intuitions, Alice passe de l’autre côté du miroir pour discuter librement avec son « autre ».
« L’autre », est en fait elle-même, dans lequel elle plonge tout un bestiaire de créatures fantasques : un lapin
blanc, une chenille, un chat, un chapelier fou, une reine rouge…Tout un retors de personnages bizarres pour
se confronter au paradoxe et à l’absurde.
Il y a toutefois un cavalier blanc, lui bien réel, qui s’est invité dans son rêve. Un amour qu’elle boira jusqu’à disparaître et qu’elle mangera pour mieux grandir.
Est-ce pour retenir ce cavalier qui lui échappe qu’Alice veut devenir reine ?